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Senin, 10 Maret 2014

après le retour du Parlement, il continua à s'occuper de ce sujet, et il fit approuver une loi pour réguler


René de Castéra est élève de Vincent d'Indy, Charles Bordes, Alexandre Guilmant et Isaac Albéniz, secrétaire de la Schola Cantorum, fondateur de l'Édition Mutuelle, critique musical, À la Schola Cantorum, il est le condisciple d'Albert Roussel, Déodat de Séverac, etc.
René de Castéra participe aux activités de la Libre Esthétique fondée par Octave Maus à Bruxelles ; la plupart de ses œuvres y sont créées, notamment par la pianiste virtuose Blanche Selva. Encensé par les critiques de son temps, il reçoit en 1912 à l'occasion de la création de sa Sonate, les félicitations de la reine des Belges Élisabeth de Bavière (1876-1965). Ses œuvres sont également interprétées à Paris, dans le cadre de la Société nationale de musique.
La même année 1912, le peintre Maurice Denis le fait figurer sur le médaillon de La Sonate pour la décoration du Théâtre des Champs-Élysées.Biographie[modifier | modifier le code]

Il est le premier des quatre enfants de Maria Morandini et Amedeo De Gasperi, un officier de la police locale. Après lui sont nés Mario, qui devint prêtre, Marcella et Augusto.
La période Austro-hongroise[modifier | modifier le code]
Même s'il était italien de langue et de culture, De Gasperi naquit et se forma dans le Trentin, qui était alors au sein de l'Autriche-Hongrie. De 1896 à 1900 De Gasperi était actif au sein du mouvement chrétien-social. Alcide De Gasperi devient boursier à l’université de Vienne en 1900 où il participe à des activités politiques. Il fut inspiré par l'encyclique Rerum Novarum du Pape Léon XIII. En 1904, il joua un rôle important au sein du mouvement des étudiants du Trentin qui réclamait la création d'une faculté de droit de langue italienne. Des émeutes sont provoquées par des étudiants de langue allemande lors de l’inauguration de la faculté de droit à Innsbruck et De Gasperi passera alors 20 jours en prison. Cela aurait pu le pousser à s’allier à l’irrédentisme (Autrichiens du Sud qui veulent devenir Italiens), mais il n’est pas tenté par cette voie là. En 1905, il devint docteur en philosophie et lettres.
Un mouvement pro-italien se forme autour de lui et il entre en 1905 à la rédaction du journal Voce Cattolica, qui prendra le nom de Il Trentino en septembre 1906, dont il assume la direction pendant une brève période et qui deviendra par la suite l’organe de presse du Parti populaire du Trentin pour les Italiens de cette région. Il écrivit une série d'articles dans lesquelles il défendait l’"italianité" (italianità) et l'autonomie culturelle du Trentin face aux tentatives de germanisation proposées par les forces politiques nationalistes du Tyrol allemand, mais il ne remettait pas en question l'appartenance à l'Autriche-Hongrie.
Lors des élections du parlement austro-hongrois du 13 et 20 juin 1911, il est élu député autrichien à la Chambre autrichienne dans les rangs de l’Unione Politica Popolare del Trentino, sur 4275 électeurs il obtint 3116 voix. Ses discours défendent « l’italianité » de sa province. Le 27 avril 1914 il obtint un siège au parlement Tyrolien de Innsbruck. Son activité de propagande prit fin à la suite de l'attentat de Sarajevo qui déclencha la Première Guerre mondiale et l'adhésion de l'Italie à la Triple-Entente. Il va se dévouer au maintien de la paix en rencontrant le ministre italien des Affaires étrangères. Mais la guerre va éclater et couper court à ses projets. "Il Trentino" fut pris par la censure et le numéro du 22 mai 1915 ne comprenait, par provocation, que des pages blanches; De Gasperi décida de suspendre les publications.
Durant la période où le gouvernement de Vienne resta inopérant (du 25 juillet 1914 au 30 mai 1917), De Gasperi se consacra surtout aux réfugiés de guerre. Avec de telles intentions il fut nommé délégué pour l'Autriche Supérieure et pour la Bohême occidentale au Secrétariat pour les réfugiés. Aussi, après le retour du Parlement, il continua à s'occuper de ce sujet, et il fit approuver une loi pour réguler le traitement qui leur étaient réservé. Entre temps, ses positions politiques changèrent et il devint un partisan du droit à l'autodétermination des peuples : en mai 1918 il fut parmi les signataires d'un document commun aux représentants des Polonais, des Tchèques, des Slovaques, des Roumains, des Slovènes, des Croates et des Serbes.
L'opposition au fascisme[modifier | modifier le code]

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